Portail des Relations internationales
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Sous-discipline de la science politique, les Relations internationales étudient les relations interétatiques (relevant de la politique étrangère des États) ainsi que les activités des organisations internationales et des acteurs transnationaux. Elles peuvent être définies comme « l'ensemble des relations et communications susceptibles d'avoir une dimension politique et s'établissant entre des groupes sociaux en traversant les frontières » (Ph. Braillard et M.-R. Djalili, Les relations internationales, PUF, coll. Que-sais-je?, 7e édition, 2004).Plusieurs pays sont réputés pour ne pas se positionner, ils sont considérés neutres.
Certains s'en proclament, le sont depuis depuis de nombreuses années, tandis que d'autres peuvent l'avoir été temporairement (carte).Écoles | Sujets | Auteurs |
Idéalisme | Société des Nations • Idéalisme wilsonien • 14 points • Multilatéralisme | Woodrow Wilson • Voir aussi Kant |
Réalisme et Néoréalisme |
État • Anarchie • Intérêt national • Puissance (relations internationales) • Guerre • Balancing • Bandwagoning • Sécurité | Edward Hallett Carr • Hans Morgenthau • Reinhold Niebuhr • George Kennan • Henry Kissinger • Kenneth Waltz • Voir aussi Thomas Hobbes et Thucydide |
Ecole anglaise | Institutions internationales • Diplomatie | Hedley Bull • John Burton • David Mitrany • Martin Wight • Voir aussi John Locke |
Libéralisme et Néolibéralisme |
Coopération • organisation internationale | Robert Keohane • Joseph Nye • Robert Axelrod |
Fonctionnalisme et Néofonctionnalisme |
Intégration régionale • spill-over | David Mitrany • Ernst B. Haas |
Le traité de Londres pour la pacification de la Grèce fut signé le par les représentants du Royaume-Uni, de la France et de la Russie. L’Autriche et la Prusse déclinèrent l’invitation. Ce traité concernait la Grèce alors en pleine guerre pour son indépendance contre l’Empire ottoman. Son but était de faire cesser le conflit et les effusions de sang. Cependant, il contrevenait aux principes de la Sainte-Alliance qu’il affaiblissait de fait. En effet, il impliquait la reconnaissance d’un nouveau pays (la Grèce) et rompait ainsi l’équilibre européen établi depuis le congrès de Vienne et dont la Sainte-Alliance était la garante. Ce traité reflétait autant l’intérêt de l’Europe pour la cause grecque que la volonté de chacun des signataires d’être présent en Méditerranée orientale afin de ne pas laisser le champ libre aux deux autres puissances. Il prévoyait une médiation des trois signataires entre les belligérants pour faire cesser les hostilités. Accepté par la Grèce, mais refusé par la Sublime Porte, il fut à l’origine de l’envoi d’une flotte de « maintien de la paix » britannique, française et russe. Une opération navale, dans l’ouest du Péloponnèse, qui entrait dans le cadre de l’application de ce traité, déboucha sur la bataille de Navarin. Pour compléter l’application de ce traité, une « force d’interposition » terrestre fut ensuite envoyée par la France : l’expédition de Morée.
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