Alfred Robens

Alfred Robens

Fonctions

Membre de la Chambre des lords
28 juin 1961 - 27 juin 1999
Membre du 42e Parlement du Royaume-Uni 42e Parlement du Royaume-Uni (d) Blyth Valley
8 octobre 1959 - 30 octobre 1960
Secrétaire d'État des Affaires étrangères du cabinet fantôme
14 décembre 1955 - 6 novembre 1956
Aneurin Bevan
Membre du 41e Parlement du Royaume-Uni 41e Parlement du Royaume-Uni (d) Blyth Valley
26 mai 1955 - 18 septembre 1959
Représentant à l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe Royaume-Uni
26 mai 1952 - 1er décembre 1954
Membre du 40e Parlement du Royaume-Uni 40e Parlement du Royaume-Uni (d) Blyth Valley
25 octobre 1951 - 6 mai 1955
Membre du 39e Parlement du Royaume-Uni 39e Parlement du Royaume-Uni (d) Blyth Valley
23 février 1950 - 5 octobre 1951
Membre du 38e Parlement du Royaume-Uni 38e Parlement du Royaume-Uni (d) Wansbeck (d)
5 juillet 1945 - 3 février 1950
Membre du Conseil privé du Royaume-Uni

Biographie

Naissance	18 décembre 1910 Manchester
Décès	27 juin 1999 (à 88 ans) Chertsey
Nationalité	britannique
Activités	Homme politique, syndicaliste
Père	George Robens (d)
Mère	Edith (?) (d)
Conjoint	Eva Powell (d) (à partir de 1936)

Autres informations

Parti politique	Parti travailliste
Membre de	Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe
Distinction	Albert Medal (1977)

Titre honorifique

Le très honorable

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Alfred Robens (18 décembre 1910-27 juin 1999), parfois connu sous le nom Alf Robens, est un syndicaliste, un homme politique travailliste et industriel anglais. Ses ambitions politiques, y compris son aspiration à devenir Premier ministre, ont été contrariées par un mauvais timing; et il tourne ses ambitions vers l'industrie, passant une décennie comme président du National Coal Board, puis dirige une enquête qui aboutit au rapport Robens sur la santé, la sécurité et le bien-être au travail. Son point de vue est paternaliste, mais plus tard dans la vie, il s'est éloigné de son premier socialisme pour se tourner vers le Parti conservateur. Sa réputation reste ternie par son incapacité à prévoir et à prévenir la catastrophe d'Aberfan, suivie par des actions largement considérées comme insensibles au lendemain de cette catastrophe.