Apeiba tibourbou (Pl. 213) d'après Aublet, 1775 ( 1. Stipules. - 2. Calice déchiré auquel on a conſervé une diviſion. - 3. Pétale. - 4. Étamine. - 5. Étamine vue de face, à laquelle l’on a coupé une portion du feuillet qui la termine. - 6. Étamine de grandeur naturelle. - 7. Ovaire. Style. Stigmate. - 8. Capſule. )
En Guyane, on appelle cet arbre bois bouchon, peigne macaque (créole), ape'ɨ (Wayãpi), imaβui, yit itaibi (Palikur), pente-de-macaco (Portugais)[4].
Au Brésil, on l'appelle aussi pente-de-macaco, pau-jangada, Pau de jangada[5], cortiça, jangadeira, escova de macaco et embira-branca[6],[7]. Les Tacana le nomment Bechu echua, Cabeza de mono silbador en Bolivie[8].
On le nomme Fruta de piojo, Peine de mico, Corlezo au Panama, Monkey comb en Anglais[9].
↑(pt) Lorenzi, H., Árvores brasileiras. Manual de identificação e cultivo de plantas arbóreas nativas do Brasil., Nova Odessa, SP. Ed. Plantarum, , 385 p. (lire en ligne), p. 335
↑Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées BOURDY 1999
↑Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées LASURE 1994