Camarade

Camarade se dit d'une personne avec laquelle l'on partage un ou plusieurs centres d'intérêt. Il est utilisé entre les membres de partis politiques de gauche, notamment communistes[1] et socialistes[2], par des syndicalistes[3], ainsi que par des patriotes et des nationalistes. C'est également un terme du vocabulaire militaire[4]. Le mot est également employé à l'école : « camarades de classe »[5].

  1. Étienne Balibar, Guy Bois, Georges Labica et Jean-Pierre Lefebvre, Ouvrons la fenêtre, camarades !, F. Maspero, Paris, 1979, 221 p. (ISBN 2-70711099-X) ; Romain Ducoulombier, Camarades ! : la naissance du parti communiste en France, Perrin, Paris, 2010, 428 p. (ISBN 978-2-262-03416-0) (texte remanié d'une thèse d'Histoire) ; Antoine Spire (dir.), La culture des camarades : que reste-t-il de la culture communiste ?, Ed. Autrement, Paris, 1992, 285 p. (ISBN 2-86260-397-X)
  2. David Revault d'Allonnes, Petits meurtres entre camarades : enquête secrète au cœur du PS, Points, Paris, 2011, 375 p. (ISBN 978-2-7578-2321-7)
  3. Jean Claude Poitou, Vos luttes, camarades (préface d'Henri Krasucki, Éditions sociales, Paris, 1982, 124 p. (ISBN 2-209-05487-7)
  4. Roger Boutefeu, Les Camarades : soldats français et allemands au combat, 1914-1918, Fayard, Paris, 1966, 463 p. ; Pierre Nord, Mes camarades sont morts, Éditions de Crémille, Genève ; F. Beauval, Paris, 1970, 3 vol., 1. La Guerre du renseignement ; 2, Le Contre-espionnage ; 3, La Préparation du débarquement ; Alexandre Lafon, La camaraderie au front : 1914-1918, Armand Colin, 2014, 544 p.
  5. Abbé Merlaud et Antoine de la Garanderie, Les Camarades et les amis de nos enfants, Centre catholique d'éducation familiale, Paris, 1965, 24 p. ; Didier Daeninckx, Camarades de classe, Gallimard, Paris, 2009, 177 p. (ISBN 978-2-07-039851-5)

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