Les droits fonciers des autochtones et des marrons au Suriname sont les prérogatives opposables en droit surinamais garantissant aux gens autochtones et marrons le droit d'habiter leurs terres. Il existe des désaccords sur ce sujet entre le gouvernement et les autochtones et marrons.
Selon l'article 41 de la Constitution du Suriname, l'État est propriétaire de toutes les richesses et ressources naturelles. Ainsi la propriété collective des communautés autochtones et marronnes n'est pas reconnue dans le droit surinamais, mais elle l'est dans le droit international[1],[2].
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