Date |
– (~ 14 ans) |
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Lieu | Tchad |
Casus belli |
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Issue |
Victoire du FROLINAT
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FROLINAT (à partir de 1966)
Armée Volcan (en) (à partir de 1970) FAP (en) (à partir de 1976) FAN (1976-1978, 1979)[1] Milices tribales et paysannes Libye (1969-1972, à partir de 1975) Soutenus par : Algérie[2] Libye (jusqu'en 1969)[3] |
Tchad
France Soutenus par : Égypte Israël |
Ibrahim Abatcha † Abba Siddick Hissène Habré Goukouni Oueddei Ahmat Acyl (en)[4] Mohamed Baghlani Mouammar Kadhafi |
François Tombalbaye † Félix Malloum Ahmat Acyl (en) (1975)[4] Hissène Habré (1978-1979)[1] Michel Arnaud Édouard Cortadellas |
3 000 hommes (1966)[2] | 2 020 hommes (1968)[5] 11 000 hommes (1979)[6] |
La première guerre civile tchadienne débute à la fin de l'année 1965, cinq ans seulement après l'indépendance, par une révolte contre le régime de François Tombalbaye, et la domination politique des ethnies du sud du Tchad sur celles du nord et du centre. Elle s'achève avec l'établissement en 1979 du Gouvernement d'union nationale et de transition (GUNT), formé par différents groupes rebelles nordistes et présidé par Goukouni Oueddei. La rivalité entre ce dernier et Hissène Habré conduit au déclenchement de la deuxième guerre civile tchadienne, de 1979 à 1982.
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