Histoire du Suriname

Suriname au présent
Carte (orientée avec le nord en bas) des colonies du Suriname et de Berbice montrant les plantations hollandaises. Les noms attribués aux lieux en dehors des plantations soigneusement délimitées démontrent la résistance des Indiens locaux, des serviteurs inféodés et des esclaves importés d'Afrique contre la domination néerlandaise. Plusieurs endroits sont notamment désignés comme « villages de rebelles », « village d'évadés » et « village d'esclaves rebelles ». Le cartouche en haut à droite donne une vue détaillée de Paramaribo, ville majeure et port du Suriname. La légende numérotée répertorie les grandes rues, ainsi que l'emplacement de l'hôtel de ville, de l'église principale (réformée néerlandaise), de l'église luthérienne, et des synagogues portugaises et allemandes (1767).

Cet article présente les faits saillants de l'histoire du Suriname, pays situé au Nord-Est de l'Amérique du Sud, qui englobait autrefois une zone plus large, appelée Côte Sauvage (Amérique du Sud), entre le delta de l'Orénoque et celui de l'Amazone, occupée aujourd'hui par la Guyane française (Cayenne, hollandaise de 1656 à 1664), le Suriname (Paramaribo, anglaise de 1650 à 1667) et le Guyana (où les Néerlandais cédèrent aux britanniques leurs colonie de Berbice, Pomeroon (fondée par les Hollandais en 1657 et détruite par les Anglais en 1665), Démérara et Essequibo).

La population du pays, estimée à 215 000 en 1950, est proche en 2024 des 600 000 Surinamiens.


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