Insomnie

Insomnie
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Tacuinum sanitatis, ouvrage écrit par Ibn Butlân.

Traitement
Traitement PsychothérapieVoir et modifier les données sur Wikidata
Médicament Glutethimide (en), amobarbital, bromodiphenhydramine (en), flurazépam, ethchlorvynol (en), trazodone, methyprylon (en), témazépam, butabarbital (en), triazolam, sécobarbital, aprobarbital (en), estazolam, propiomazine (en), ethinamate (en), quazepam, doxylamine, zaleplon, lorazépam, Thiobutabarbital, olanzapine, quétiapine, diazépam, Suvorexant, clonazépam, rispéridone, mirtazapine, gabapentine, zolpidem, cidoxepin (en), alprazolam, diphénhydramine, eszopiclone, amitriptyline, ramelteon, oxybate de sodium (en) et cognitive behavioral therapy for insomnia (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Spécialité Neurologie et psychiatrieVoir et modifier les données sur Wikidata
Classification et ressources externes
CISP-2 P06
CIM-10 F51.0, G47.0
CIM-9 307.42, 307.41, 327.0, 780.51, 780.52
OMIM 614163
DiseasesDB 26877
MedlinePlus 000805
eMedicine 1187829
MeSH D007319
Patient UK Insomnia

Wikipédia ne donne pas de conseils médicaux Mise en garde médicale

L'insomnie définit le plus souvent des problèmes de sommeil chez un individu. Ce terme est créé au XVIe siècle sur la base du latin insomnia (du latin somniculus, « état de celui qui dort ») et signifie stricto sensu la privation de sommeil[1].

Dans l'acception commune et courante, l'insomnie est la diminution de la durée habituelle du sommeil et/ou l'atteinte de la qualité du sommeil avec répercussion sur la qualité de la veille du lendemain[2]. Un sommeil interrompu durant la nuit, ou sommeil polyphasique, est souvent confondu avec l'insomnie, menant la plupart du temps à une prescription de somnifères[3].

  1. Jacqueline Picoche, Dictionnaire étymologique du Français, Dictionnaires Le Robert, 1994, entrée Sommeil, I, B3, p. 519-520. (ISBN 2-85036-263-8).
  2. Sylvie Royant-Parola.
  3. (en) Jacquelyn H. Flaskerud, « The Cultures of Sleep », Issues in Mental Health Nursing, vol. 36, no 12,‎ , p. 1013–1016 (ISSN 0161-2840, PMID 26735508, DOI 10.3109/01612840.2014.978960) :

    « Most physicians when confronted with a patient who complains of interrupted sleep will write a prescription for a sleeping pill (Randall, 2012, p. 36). Indeed, in a recent issue of Time Magazine, an article focussed on the sleep of Americans stated that the sleep that a person gets with the help of a pill is ‘better than not sleeping at all or of getting interrupted sleep’ (emphasis added) (Park, 2014, p. 58). The modern popular assumption, that consolidated sleep with no awakenings is the normal and correct way for human adults to sleep, may lead people to consult their doctors fearing they have maintenance insomnia or other sleep disorders. Their concerns might better be addressed by reassurance that their sleep conforms to historically natural sleep patterns. The reasoning is that if patients perceive interrupted sleep as normal, they might experience less distress when they awake at night and fall back to sleep more easily. »


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