Liskamm

Liskamm
Vue de la face nord du Liskamm.
Vue de la face nord du Liskamm.
Géographie
Altitude 4 527 ou 4 533 m, sommet oriental[1],[2]
Massif Alpes pennines (Alpes)
Coordonnées 45° 55′ 21″ nord, 7° 50′ 08″ est[2],[1]
Administration
Pays Drapeau de la Suisse Suisse
Drapeau de l'Italie Italie
Canton
Région à statut spécial
Valais
Vallée d'Aoste
District
Commune
Viège
Gressoney-La-Trinité
Ascension
Première par W.E. Hall, J.F. Hardy, J.A. Hudson, C.H. Pilkington, A.C. Ramsay, T. Rennison, F. Sibson et R.M. Stephenson, avec J.-P. Cachat, F.J. Lochmatter, Karl Herr, Stefan Zumtaugwald, P. et J.-M. Perren
Voie la plus facile depuis le refuge Gnifetti
Géolocalisation sur la carte : Suisse
(Voir situation sur carte : Suisse)
Liskamm
Géolocalisation sur la carte : Italie
(Voir situation sur carte : Italie)
Liskamm
Géolocalisation sur la carte : canton du Valais
(Voir situation sur carte : canton du Valais)
Liskamm
Géolocalisation sur la carte : Vallée d'Aoste
(Voir situation sur carte : Vallée d'Aoste)
Liskamm

Le Liskamm (ou Lyskamm) est une montagne des Alpes valaisannes à l'est du Cervin et à l'ouest du Mont Rose sur la frontière italo-suisse entre le Valais et la Vallée d'Aoste. Il a un sommet oriental (4 527 ou 4 533 m, 8e sommet alpin) et un sommet occidental (4 477 ou 4 479 m, 11e sommet alpin). Le Liskamm a été parfois surnommé le « mangeur d'homme » à cause des séries de tragédies qui se sont déroulées sur ses arêtes. Ces deux sommets, reliés par une arête longue de deux kilomètres à 4 450 m d'altitude en moyenne, peuvent être faits dans une même course.

La première ascension a été réalisée le par William Edward Hall, Jean-Pierre Cachat, Peter Perren, Josef-Marie Perren, J.F. Hardy, J.A. Hudson, C.H. Pilkington, A.C. Ramsay, T. Rennison, F. Sibson, R.M. Stephenson, Franz Josef Lochmatter (1825-1897)[3],[4], Karl Herr et Stefan Zumtaugwald.

  1. a et b Visualisation sur le géoportail italien.
  2. a et b Visualisation sur Swisstopo.
  3. (de) Christian Imboden, Berge: Beruf, Berufung, Schicksal. Die St. Niklauser Bergführer als Wegbereiter des internationalen Alpinismus, Rotten Verlag, Visp, 2013 (ISBN 3-907624-48-3), p. 74 et 169
  4. (de) J. Ruppen, V. Summermatter, St. Niklaus: Familienstatistik und Chronik der Gemeindeverwaltung St. Niklaus, Saint-Nicolas, 1975, Familienstatistik 2.

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