Kalm est célèbre pour avoir le premier décrit les chutes du Niagara[2] et avoir fourni la première étude détaillée d'histoire naturelle de l'Amérique du Nord. Il a publié son récit de voyage, qui a été traduit en plusieurs langues.
↑TIEDE (Magazine finlandais) 5/2003, Suomalaisten löytöretket 3: Professori Kalm pääsi amerikan lehtiin. (magazine finlandais)
↑En 1750, Kalm a rédigé une description détaillée des chutes du Niagara, en suédois, qu'il a envoyée à Carl C. Gjörwell à Stockholm. Il s'agit de la première description scientifique de ces chutes. On peut lire le texte original dans le vol. 4 du Kalms Resa till Norra Amerika d'Elfving et Schauman (1929), pp. 162-180 (voir note ci-après), ainsi que dans le vol. 4 du Pehr Kalm: Resejournal över resan till Norra Amerika de Roos et Krogerus (1988), pp. 223-234. Une traduction en anglais se trouve dans le Peter Kalm's Travels in North America de Benson (1987), pp. 693-709 (voir note ci-après). Kalm a également envoyé une lettre en anglais à Benjamin Franklin, dans laquelle il joignait une description des chutes, moins scientifique et plus brève, en lui demandant, s'il voulait la reformuler dans un meilleur anglais et la publier dans la Pennsylvania Gazette. Franklin l'a corrigée et publiée le 20 septembre 1750, sous le titre «A letter from Mr. Kalm, a gentleman of Sweden, now on his travels in America, to his friend in Philadelphia, containing a particular account of the Great Fall of Niagara». Le texte se trouve en pages 1 et 2 du numéro 1136 de la Pennsylvania Gazette. L'article a été repris en 1751 dans le Gentleman's Magazine, and historical chronicle, vol. 21, pp. 15-19. Le texte est aussi inclus dans l'ouvrage de John Bartram (1751, rééd. 1895): «Observations on the inhabitants, climate, soil, rivers, productions, animals, and other matters worthy of notice made by Mr. John Bartram in his travels from Pensilvania to Onondago, Oswego and the lake Ontarion, in Canada, to which is annex’d a curious account of the cataracts at Niagara, by Mr. Peter Kalm, a swedish gentleman who travelled there», London, Whiston et White, pp. 79-94.