Vladimir Vernadski

Vladimir Ivanovitch Vernadski
Vladimir Vernadski en 1934.
Fonctions
Professeur
Membre du Conseil d'État de l'Empire russe
Biographie
Naissance
Décès
(à 81 ans)
Moscou (URSS)
Sépulture
Nom dans la langue maternelle
Влади́мир Ива́нович Верна́дский, Володи́мир Іва́нович Верна́дський ou Владиміръ Ивановичъ ВернадскійVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Domiciles
Formation
Activités
Père
Ivan Vernadski (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Mère
Anna Petrovna (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Conjoint
Natalia Staritskaïa (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Enfants
George Vernadsky (en)
Nina Vernadska (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
A travaillé pour
Université d'État de Saint-Pétersbourg
Université nationale de Tauride V. I. Vernadski (en)
Académie des sciences de l'URSS (en)
Université impériale de Moscou (1755-1917) (en)
Université impériale de Saint-Pétersbourg (en)
Université d'État de MoscouVoir et modifier les données sur Wikidata
Domaine
Parti politique
Membre de
Maîtres
Directeurs de thèse
Influencé par
Distinctions
signature de Vladimir Ivanovitch Vernadski
Signature

Vladimir Ivanovitch Vernadski (en russe : Владимир Иванович Вернадский ; en ukrainien : Володи́мир Іва́нович Верна́дський, Volodymyr Ivanovytch Vernadsky), né le 28 février 1863 ( dans le calendrier grégorien) à Saint-Pétersbourg et mort le à Moscou, est un minéralogiste et chimiste russe et ukrainien.

Il est avec le Norvégien Victor Goldschmidt et l'Américain Frank Wigglesworth Clarke l'un des fondateurs de la géochimie moderne et de la biogéochimie[1]. Vernadski a travaillé sur les effets des radiations solaires et cosmiques sur l'ensemble des organismes vivants.

Il définit en 1926 la notion de biosphère, dans une optique biogéologique et écologique, posant comme hypothèse que la vie est une force géologique qui transforme la Terre.

Premier à envisager scientifiquement les conséquences de l'activité humaine sur le climat, il fut cependant peu écouté à une époque où l'on pensait que la nature était dotée de capacités de régénération inépuisables.

  1. Vernadsky. La France et l’Europe, Maison des Sciences de l’Homme d’Aquitaine, (lire en ligne), p. 195

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